DOCUMENTAIRE
Elles étaient une vision fugace dans la nuit. On m’a dit que l’une d'entre elles était venue à pied de Gaza à Tel-Aviv. Dans ma tête je l'ai appelée La Belle de Gaza.
... de Yolande ZAUBERMAN,
France, 29 mai 2024, 1h16.
L'Obs :
Plans-séquences, mise en scène immersive, tension suffocante… Pour réaliser cette fiction quasi documentaire, politique et émouvante, qui a raflé pas mal de prix dans les festivals, le cinéaste a enquêté plus de dix ans.
Première :
Yolande Zauberman, avec sa caméra, n’est pas une intruse qui viendrait puiser le temps d’une immersion quelques sensations. Tout fait corps à l’image. L’échange se matérialise par la grâce d’une mise en scène proche des êtres d’où émerge une beauté tragique. Puissant.
L'Humanité :
Yolande Zauberman a cet incroyable talent de gagner la confiance de ses interlocutrices, ce qui lui permet de dresser pour ce documentaire des portraits tout en humanité.