Depuis le mois de mai 2024, Ciné9 a ouvert de nouveaux horizons à PAMIERS
en partenariat avec le cinéma Le REX.
Les séances ont lieu un lundi par mois.
Cher·es spectatrices et spectateurs,
L’association loi 1901 Ciné 9 s’emploie à défendre et promouvoir le cinéma d’auteur et le cinéma Art et Essai dans les salles de cinéma de l’Ariège. Cette association est ouverte à tous·tes depuis sa création en 2005 et les adhérent·es sont un soutien essentiel à ce projet culturel.
Grâce à ces adhérent·es, ses spectatrices et spectateurs et ses différents soutiens, cette association peut mener à bien une ligne de programmation exigeante et une politique d’animation active : soirées débats avec réalisatrices, réalisateurs ou intervenant·es, ciné-concerts, mini festivals …
Nous avons plus que jamais besoin de vous pour continuer à faire vivre ce lieu d’échanges et de rencontres autour du cinéma.
Vous pouvez télécharger le bulletin 2025 ci-dessous ou l'obtenir au guichet de vos cinémas.
Et vous pouvez choisir d'effectuer le règlement par virement, ou bien par chèque ou espèces transmis par courrier postal ou remis à l'association.
Il est rappelé que les projections et les animations sont ouvertes à tous·tes,adhérent·es ou non.
Mikado et Laetitia vivent avec leurs enfants sur les routes. Une panne de moteur les amène à s’installer le temps d’un été chez Vincent, un enseignant qui vit seul avec sa fille. C’est le début d’une parenthèse enchantée qui pourrait aussi bouleverser l’équilibre de toute la famille alors que Nuage, leur fille aînée, se prend à rêver d’une vie normale.
de Baya KASMI
France, 9 avril 2025, 1h34
Première :
La qualité d’écriture des personnages, cette manière de raconter leurs contradictions sans se faire avocate, procureure ou juge rendent ce récit attachant sans verser dans la sensiblerie. Un pas de côté remarquablement orchestré.
Abus de Ciné :
La force du film et de l'écriture de Baya Kasmi réside dans la manière dont elle réussit à faire vivre tous ses personnages en même temps, avec leurs problématiques distinctes. Une grande bienveillance traverse l'histoire, solaire comme l'été suspendu dans lequel évolue les personnages.
Le Monde :
Une question de regard, d’écoute, de bienveillance, de douceur. Et la manière qu’a trouvée la réalisatrice Baya Kasmi pour rendre justice à ceux qui, trop tôt, ont dû subir l’âpreté de l’existence.