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  TARASCON

Espace François Mitterrand à TARASCON

Les séances Ciné9 sont ouvertes à tout public

Mercredi 7 août,  18 h et 21 h

 En partenariat avec :

18 h 

 Vera, actrice blond platine au chapeau de cowboy vissé sur la tête, mène difficilement sa carrière, dans l’ombre de son père, Giuliano Gemma, icône du cinéma italien des années 60. Elle vit au jour le jour dans le petit monde du showbiz, lassée de ses relations superficielles. A la suite d’un accident de la route dans un quartier populaire de Rome, Vera rencontre un jeune garçon de huit ans et son père. Elle tisse une relation intense avec eux, découvre alors la vraie vie, et peut-être même une nouvelle famille.

... de Tizza COVI et Rainer FRIMMEL,

Italie, 23 août 2023, 1h55.

 Le Parisien :

À mi-chemin entre fiction et réalité – Vera est véritablement la fille de Giuliano Gemma, ce film, qui mêle personnages réels et inventés, dresse le portrait d’une fille d’actrice assez inquiétante au départ, émouvante ensuite, et finalement tragique. 

 

 Libération :

Ce docufiction sensible offre à la fille de Giuliano Gemma, star de westerns spaghetti dans les années 60, l’occasion de s’affranchir de la célébrité paternelle pour se révéler dans toute son humanité, loin de son image de bimbo superficielle. 

 

AUBERGE "italienne"ENTRE LES 2 FILMS 

         proposée par l'association ENTRE'ACT au tarif de 5€ par pers 

   sur réservation au 06 49 40 23 81 ou cinema@mairie-tarascon.com

 

 

 

  21 h

 Après la fermeture de leur maison close, quatre prostituées tentent de s’établir à leur compte en ouvrant ce qui s’apparenterait à un simple restaurant. Mais pour mener à bien leur projet, elles doivent solliciter l’aide d’un ancien homme du milieu qui menace leur tentative d’émancipation…

 Wordpress.com :

 Pietrangeli confronte chacun de ses personnages féminins à ses conflits intérieurs et à leur image renvoyée par une société machiste et conservatrice. En cela, Marilina, à la fois maman et putain, vaut pour valeur-étalon. Riva qui l’incarne donne corps et douce hystérie à ce portrait moral plein de pertinence. Jusqu’à un final sombre, le cinéaste italien creuse un sillon hérité du néoréalisme mais ici, plus sur un plan thématique et social que formel. Sur ce dernier point, nous remarquons tout de même un soin particulier apporté à la gestion de la profondeur de champ et au filmage des lieux bien servis par la photographie d’Armando Nannuzzi et les variations jazzy composées par Piero Piccioni.

 

... de Antonio PIETRANGELI,

Italie, 1960, 1h59.